Voici le visuel de ma prochaine sérigraphie. J'ai passé beaucoup plus de temps que d'habitude à la chiadre, peut-être parce que le thème (métal et halloween) me bottait vraiment. Elle sera tirée à 50 ex, et en 3 couleurs, une première pour moi. Format 20x60 cm. Ce coup-ci, j'essaye un nouvel imprimeur, la Fanzinothèque de Poitiers, carrément ! J'aimerai d'ailleurs beaucoup exposer chez eux l'année prochaine, et je les ai sollicité à cet égard, vu que j'ai maintenat 50 cadres (format 30x40 cm) à ma disposition. Et bientôt des nouvelles de mon art-book "PURE FUCKING PEOPLE". Tchuss.
mardi 31 août 2010
jeudi 26 août 2010
lundi 23 août 2010
vendredi 20 août 2010
HELLFEST 2010 (13)
Ca y'est, ma demande de numéro ISN est partie ce matin. La couv du livre est prête, et j'attaque la mise en page sur Indesign la semaine prochaine. J'ai revu la pagination, qui sera de 64 pages. J'ai prévu d'imprimer 500 ex, histoire de ne pas me retrouver avec trop de livres sur les bras, au cas où il ne se vende pas. Et je lui ai trouvé un titre : "PURE FUCKING PEOPLE", en hommage au tee-shirt, et aux Headbangers, à qui ce livre est dédié !!!
jeudi 19 août 2010
mercredi 18 août 2010
mardi 17 août 2010
HELLFEST ARTBOOK
Salut à tous ! De retour de vacances donc, je suis allé faire un petit tour sur mon compteur de visiteur, et quelle ne fut ma surprise, heureuse surprise, de constater que vous aviez fait explosé le compteur des "pages loads", et des "unique visitors" : 7600 pour le premier, et 2400 pour le deuxième, là ou d'habitude, j'arrive à 900 et 500 par mois ! La grosse claque, surtout que cela correspond aux semaines 30 et 31, où j'étais en vacances, et où il ne se passait rien sur ce blog! Et c'est là que je me suis souvenu du démarchage par voie de mail aux webzines métal à propos des dessins que je mettais régulièrement en ligne depuis mon retour du Hellfest 2010. Donc, et pour faire court, bienvenue à tous les mettaleux, et merci aux webzines d'avoir joué le jeu et d'avoir relayé l'info. Tout ça pour vous annoncer aussi que je compte faire imprimer moi-même mon premier artbook avec tous ces dessins, vu qu'aucun éditeur contacté n'en veut. Le livre devrait faire 96 pages, sera en Noir et Blanc bien sur, avec un papier à fort grammage (170 gr), avec un dos carré, et une reliure cousue collée. Je lui cherche encore un titre, et il me reste pas mal d'illu à faire. Bref, un bel objet qui sera mis en vente sur mon site, courant Octobre, je l'espère. Alors faites passer l'info, et d'ici là, Stay Metal !!!
lundi 16 août 2010
PIT
Me voici de retour après 15 jours de vacances, avec un temps un peu pourri tout du long, en tout cas bien loin de la canicule anoncée. J'ai lu un peu (mais ça vous le savez déjà), j'ai fait un peu de sport, et donc je suis en pleine forme pour me remettre sur tous les projets que j'ai sur le feu, et vous tenir au courant bien sur. Alors à très vite !
samedi 14 août 2010
LECTURES (3)
"Joseph Vaughan a douze ans lorsqu’il découvre dans son village de Géorgie le corps horriblement mutilé d’une fillette assassinée. La quatrième victime d’une longue série qui laissera longtemps la police impuissante. Des années plus tard, lorsque l’affaire semble enfin élucidée, Joseph décide de changer de vie et de s’installer à New York pour oublier les séquelles de cette histoire qui l’a touché de trop près. Lorsqu’il comprend que le tueur est toujours à l’œuvre, il n’a d’autre solution pour échapper à ses démons, alors que les cadavres d’enfants se multiplient, que de reprendre une enquête qui le hante afin de démasquer le vrai coupable, dont l’identité ne sera révélée que dans les toutes dernières pages."
Sacré bouquin que je viens de finir, et qui était depuis longtemps dans ma très très longue liste de "livres à lire". Plus qu'un polar, c'est un grand roman, comme seuls les Ricains savent en pondre, sur les blessures de l'enfance, sur l'acte de création (comme écrire un roman,) sur la culpabilité, la rédemption, sur le destin incroyable de gens ordinaires, sur la persévérance, l'amour, la vie, le deuil, la résiliance, la nostalgie de l'enfance, les fantômes du passé ... C'est un premier roman très bien écrit, qui peut se lire part bribes, en prenant son temps, car le plaisir de lecture qui s'y trouve mérite d'y aller mollo, pour l'apprécier à sa juste valeur. Un très bon bouquin (qui m'a rappelé certains livres de Stephen King), dont j'avais lu de très bonnes critiques , et que j'ai attendu de lire en poche, ce qui a sans doute contribué à ce plaisir que j'ai pris à sa lecture. Je lis beaucoup, et chaque année, il y a un livre qui me marque plus que tous les autres, un livre qui me hante, dans le bon sens du terme. Il se pourrait bien que ce soit celui de 2010.
Sacré bouquin que je viens de finir, et qui était depuis longtemps dans ma très très longue liste de "livres à lire". Plus qu'un polar, c'est un grand roman, comme seuls les Ricains savent en pondre, sur les blessures de l'enfance, sur l'acte de création (comme écrire un roman,) sur la culpabilité, la rédemption, sur le destin incroyable de gens ordinaires, sur la persévérance, l'amour, la vie, le deuil, la résiliance, la nostalgie de l'enfance, les fantômes du passé ... C'est un premier roman très bien écrit, qui peut se lire part bribes, en prenant son temps, car le plaisir de lecture qui s'y trouve mérite d'y aller mollo, pour l'apprécier à sa juste valeur. Un très bon bouquin (qui m'a rappelé certains livres de Stephen King), dont j'avais lu de très bonnes critiques , et que j'ai attendu de lire en poche, ce qui a sans doute contribué à ce plaisir que j'ai pris à sa lecture. Je lis beaucoup, et chaque année, il y a un livre qui me marque plus que tous les autres, un livre qui me hante, dans le bon sens du terme. Il se pourrait bien que ce soit celui de 2010.
vendredi 13 août 2010
LECTURES (2)
"Nao Kanzaki, une jeune fille fort naïve, reçoit un jour un colis comportant la somme de 100 millions de yen, accompagnée d'une carte expliquant qu'elle a été choisie pour prendre part au "Liar Game" (jeu du menteur). Le but de ce jeu est de s'accaparer la part des autres joueurs, par tous les moyens possibles. À la fin, le gagnant reçoit l'argent qu'il a volé aux autres joueurs , tandis que ceux-ci se retrouvent endettés de cette somme."
Ils sont rares les livres qui ont un pitch de départ vraiment nouveau, qui ne ressemble à rien de déjà vu. A ce titre je mettrais, et dans les mangas lus ces derniers temps, "Monster," "20th Century Boy", "Death Note" et celui-là, "Liar Game". Je n'en ai lu que le premier des 12 tomes, car il vient seulement d'être publié en France, alors qu'il date de ... 2005 ! Et je ne sais pas ce que vaux la suite, mais ça part très bien, et la fin du premier tome donne vraiment envie de lire le tome 2. On y retrouve un peu la psychologie d'un Death Note, la densité en moins. C'est bien dessiné, les personnages y sont attachants, et le bras de fer psychologique y très bien rendu.
Ils sont rares les livres qui ont un pitch de départ vraiment nouveau, qui ne ressemble à rien de déjà vu. A ce titre je mettrais, et dans les mangas lus ces derniers temps, "Monster," "20th Century Boy", "Death Note" et celui-là, "Liar Game". Je n'en ai lu que le premier des 12 tomes, car il vient seulement d'être publié en France, alors qu'il date de ... 2005 ! Et je ne sais pas ce que vaux la suite, mais ça part très bien, et la fin du premier tome donne vraiment envie de lire le tome 2. On y retrouve un peu la psychologie d'un Death Note, la densité en moins. C'est bien dessiné, les personnages y sont attachants, et le bras de fer psychologique y très bien rendu.
jeudi 12 août 2010
LECTURES
Vacances riment souvent avec lecture, en tout cas pour moi, et quand on écrit des polars, on en lit aussi. Beaucoup. Voici le dernier, de la romancière trash Mo Hayder, dont j'avais adoré le dérangeant et magnifique "Tokyo" (que j'aurai bien aimé adapté en bd d'ailleurs), ainsi que ses 2 premiers bouquins, "Birdman", et "L'homme du soir". J'avais en revanche beaucoup moins aimé "Rituels", et j'attendais la sortie en poche de ses derniers. Et notamment de "Pig Island". Bouquin bizarre, qui se lit très vite (2 jours), qui se finit presque au milieu (le première partie est très bien foutue, glauque, surprenante), qu'elle parvient à relancer tout de même, grace à une alternance de points de vue des 2 personnages principaux, mais qui sonne curieusement alors un peu faux. En tout cas pour moi. La fin est limite baclée, et se finit trop vite. En bref, une semie déception.
En voici un résumé qui n'est pas de moi :
"Joe Oakes est journaliste et gagne sa vie en démystifiant les prétendus phénomènes paranormaux. Ce sceptique-né n'a jamais eu qu’un seul credo : tout s’explique rationnellement. En débarquant sur Pig Island, un îlot perdu au large de l’Ecosse, il est fermement décidé à vérifier si la trentaine d’allumés qui y vivent en vase clos – sous le titre pompeux de « ministres de la cure psychogénique » – vénèrent le diable comme les en accusent les gens de la côte. Il veut aussi découvrir ce qu'est devenu le fondateur de la secte, le pasteur Malachi Dove, un charlatan qu'il a connu dans sa jeunesse et qui ne s'est plus manifesté depuis vingt ans. Enfin et surtout, il veut tordre le cou au mythe du monstre de Pig Island – une mystérieuse créature filmée deux ans plus tôt sur le littoral désert de l’île par un touriste en bateau à moitié ivre. Mais rien, strictement rien ne se passe comme prévu. Joe Oakes va être confronté à des événements tellement atroces que son idée de la peur et du mal ne sera plus jamais la même..."
En voici un résumé qui n'est pas de moi :
"Joe Oakes est journaliste et gagne sa vie en démystifiant les prétendus phénomènes paranormaux. Ce sceptique-né n'a jamais eu qu’un seul credo : tout s’explique rationnellement. En débarquant sur Pig Island, un îlot perdu au large de l’Ecosse, il est fermement décidé à vérifier si la trentaine d’allumés qui y vivent en vase clos – sous le titre pompeux de « ministres de la cure psychogénique » – vénèrent le diable comme les en accusent les gens de la côte. Il veut aussi découvrir ce qu'est devenu le fondateur de la secte, le pasteur Malachi Dove, un charlatan qu'il a connu dans sa jeunesse et qui ne s'est plus manifesté depuis vingt ans. Enfin et surtout, il veut tordre le cou au mythe du monstre de Pig Island – une mystérieuse créature filmée deux ans plus tôt sur le littoral désert de l’île par un touriste en bateau à moitié ivre. Mais rien, strictement rien ne se passe comme prévu. Joe Oakes va être confronté à des événements tellement atroces que son idée de la peur et du mal ne sera plus jamais la même..."